mercredi 2 avril 2008

* Erratum...

... Parce que Fred, c'est Fred !
Une mini dédicace indispensable à Fred : le seul (ouf) et le vrai...
Pour des raisons évidentes de lectorat sensible et non initié, je ne publierai pas la fameuse vidéo, prise lors d'un certain soir de TGEA, à l'occasion de certains faits pas divers du tout, dans certaines conditions que l'on qualifiera de... "rien de plus normales" (pour un étudiant ingénieur (sauf que Fred, il est théoriquement entré dans le monde des vieux qui bossent maintenant... Mais passons...))...

Cela étant, j'insiste pour que l'on décerne un nouvel escar au sein de la 61 : l'escar de la cascade extraodinaire à... FRED (évidemment) !

Parce que je ne pouvais pas m'empêcher de lui dédier un article spécial, parce que Fred c'est le Bisounours de l'ENSICA alors que tous ne jurent que par le Toucan, parce que Fred fait vivre les employés de l'industrie Leffe, parce que Fred a rendu mon lundi après-midi bien bien sympathique rien qu'avec une vidéo, parce que Fred, C'EST FRED ! (what else ?)

dimanche 30 mars 2008

Philly : épisode 4...

... Un nouvel espoir

Au lendemain de cette défaite cuisante contre New Year's Eve party (on pourrait même dire tout simplement - pour certains, voire pour tous - au lendemain de cette cuite...), on attendait beaucoup de 2008. En VRAC :
- que la serveuse du Coco's Bar soit RE de service très prochainement
- que Bush se soit étouffé (pour de bon cette fois-ci) avec un Bretzel pendant son apéro du New Year's Eve
- que le vent glacial se calme sur Philly, parce que Fanfoué oublie à chaque fois de prendre son écharpe le matin
- que Sarkozy se soit, lui-aussi, étouffé avec un Bretzel la veille
- ...etc. !

... Et figurez-vous que ce 1er janvier 2008 ne nous a pas déçu !
Bon - évidemment - aucun des voeux précités ne s'est réalisé, mais... MAIS :

- Malgré notre heure taaaaardive de réveil, on a pu assisté à la Mummers' parade, évènement fort s'il en est de la ville de Philadephie... Il n'y a pas vraiment de miracle dans tout cela, c'est juste qu'on ignorait - en 2007 - que la parade durait toute la journée !


Mummers Parade 2008 - Watch more free videos

- Par une veine incroyable, on est tombé par hasard - dans un Starbuck bondé - sur une Française - bien sympa - qui venait de l'ESC... TOULOUSE !, et faisait un stage à Philly. Comme la demoiselle était bien sympa (redondance volontaire), et qu'elle avait une amie qui habitait dans l'un des gratte-ciels résidentiels les plus prestigieux de la ville, elle nous a introduit dans l'immeuble en question, et plus précisément sur son... toit ! A en juger par les bouchons de bouteille de champagne qui jonchaient le sol, la vue était bien appréciée des initiés ! Et effectivement, la vue était tout bonnement... splendide ! Voir les photos... (j'ai cédé l'exclusivité du format panoramique de cette vue incroyable à Fanfoué : allez (re)checker son blog !)

- On a sauvé une vie : we are HEROES (en toute modestie)... Enfin, euh, si on n'a pas sauvé une vie, on a AU MOINS sauvé une jambe et une hanche de la fracture... A philadelphie, apparemment, on ne connaît ni les rétros ni l'angle mort, et quand on fait marche arrière, on s'occupe pas de savoir s'il y a des piétons qui traversent la rue. Heureusement les Caïens - forts de leur expérience toulousaine dangereuse - étaient là pour crier au jeune candide : "HEY HEY HEY HEYYYYYYYY !" (traduction = "Attention !!!!!! La folle recule sa caisse, tu vas te faire aplatir comme un vieux pancake de la veille !" (culture canadienne quand tu nous tiens...))... Trêve de plaisanterie, je préfère ne pas imaginer la façon dont les os se seraient gorement fait broyer (ah bah, euh, je viens de l'imaginer en fait) si on n'avait pas été là !

- On a eu la preuve intangible que les miracles existent ! Appréciez par vous-mêmes : Frug n'a pas mangé une seule frite, Baconator, ou pointe de pizza de la journée ! Encore plus fort : il a mangé... UNE CHTITE SALADE en guise de dîner ! Et, et, ET : il s'est couché - à tout casser - à 20h30 !!! Si ça, c'est pas un miracle...

Bref, vive 2008 !


mardi 4 mars 2008

Interlude avec intérêt...


...IgLoO fEsT 2008 !



On ne s'attendait pas à le revoir si tôt... mais si ! Fanfoué était déjà de retour à Montréal à peine un mois après sa dernière visite (décembre), et c'était une très bonne idée !!! Tu reviens quand tu veux hein !


Et quand Fanfoué is in da place, ça groove baby groove ! C'était le dernier week-end de l'Igloo Fest à Montréal : sorte de festival-rave électro (sans drogues, et qui se termine à 2h du mat au lieu de 2h de l'après-m le surlendemain) en plein air... Et avec des igloos ! Comprenez : FAIT FROID ! C'est marrant de se trémousser sur de la house en doudoune et grosses bottes d'hiver, ça désinhibe toute peur du ridicule (puisque l'autre, là-bas, avec son bonnet vert fluo et ses MoonBoots jaune pipi, il est vachement plus pire que moi ! ... euh... non ?!), c'est très très bien...




Mini résumé vidéo (j'ai changé la zik de fond, car on entendait pas grand chose et le montage final ne donnait rien de bien... So you can pump up the volume !)...










dimanche 17 février 2008

Philly : épisode 3...

... La revanche du videur !
Avant toute chose : afin d’éviter toute plainte pour diffamation de la part de Frug, je tiens à rectifier mes commentaires sur ses raisons de quantité d’alcool ingéré… En effet, tel que me l’a reproché le dit Frug : « Je passe pour un alcoolique qui essaie de noyer son ersatz de love-story raté avec une serveuse, alors que… Pas du tout ! ». Soit. Je rectifie donc le tir : Frug ne noie PAS son chagrin d’amour raté dans l’alcool : s’il boit autant, c’est parce que… Euh… Euh beh, c’est parce que euh… Il aime bien ça ! (Hum, c’est vraiment mieux là pr ta réputation Sylvain ? :D

Loïc n’était pas loin de la vérité : il y a bien une histoire de Gin-Fizz, UN PEU trop nombreux pour Frug (on ne reviendra pas là-dessus), ainsi qu’une histoire de bombe…

Frug donc, à force de demander des Gin-Fizz gratuits à la serveuse (on a dit qu’on ne revenait plus là-dessus, merdum !), gagne en confiance… Preuve en est qu’il commence à draguer une demoiselle au bar (sans toutefois réussir à la chopper (Pardon aux familles pour ce langage peu châtié, issu d’une solide éducation ingénieur ENSICA de 2 ans…), acte qu’il niera en bloc le lendemain, MALGRE les photos dignes de Paris Match prises à l’occasion (manque juste un peu de Bruni-Sarkozy mais l'idée y est...) :




Un peu énervé par la fin de l’open bar, Frug commet un acte inconsidéré : il va lui-même poser son verre (vide) sur la pile de verres (vides, mais propres) du bar… « MAIS NON MALHEUREUX ! » suis-je alors tentée de lui crier, alors qu’il fait tomber la pile des verres sous les yeux ébaubis de la serveuse…
Toujours est-il qu’une petite cigarette après autant de Gin Fizz, c’est un peu comme un débat polémique après un épisode de Lost : c’est indispensable ! Frug nous quitte donc vers 23h15 pr sortir fumer, et… il ne remettra jamais les pieds dans la boîte, car la serveuse a passé le mot au videur : « Lui, il ne rentre plus (rire machiavélique) ! »…

Alors que Fanfoué et moi, au bout d’une demi-heure, on commence à se demander si Frug est tombé sur une tonne de cartouches de Marlboro pour prendre autant de temps, on est toujours accoudé au bar, frustrée que je suis de ne même pas faire un pas de danse sur le dancefloor…
Fanfoué va finalement aux nouvelles… 1/2 h + tard : il m’annonce que Frug s’est fait kické his ass out of the club, et qu’eux deux tentent de parlementer av le videur, leur meilleur argument ayant sans doute été que le videur a (lui aussi) des rastas (no comment…)… Le temps s’écoule, tandis que j’épuise mes réserves de Bloody Marys, seule, une fille (!), en jupe, au bar, ET QUE PERSONNE (alors là, je dis bien PERSONNE) ne tente une approche en ma direction (vous en tirerez les conclusions que vous voulez, j’en ai déjà tiré les miennes :-[…)… Arrive le décompte du nouvel an : toujours toute seule, sans portable pour faire style « je suis occupée à lire des textos pcq - oui - j'ai des amis » (ma spécialité), je tortille la paille de mon verre l’air serein et confiant…
Mais trop, c’en est trop : "FUCK !", je prends mon manteau et je décide de mettre fin à ce vent de solitude un peu trop glacial…

Je devrai encore attendre une bonne heure dehors pendant que ces messieurs continuent de négocier leur ré-entrée dans le club (une menace de « Just leave, or I call the police ! » a même été entendue…), en vain (eût-il été nécessaire de le préciser)…

Puis attendre encore – dans le froid – disons 1 autre bonne heure avant qu’un taxi libre ne se décide à passer devant nous (beh ouais, c’était le nouvel an quand même !)… Oui car le bus sera tout de même passé 2 fois devant nous sans daigner s’arrêter (on aura jamais trop su pourquoi d’ailleurs…)… Le tout ponctué de « C’est pourri les Sates ! », « Fuck America ! » (FUPER… Le tact de Frug à son paroxysme) , ou encore « Non mais quand je vois ça, ça m’étonne pas qu’ils posent des bombes aux States » (non, seule là, c'est quand même la meilleure de toutes LOL ! Ou pas...)

Le bilan de la soirée ??? Avec le recul c’est à mourir de rire, sans le recul c’est à mourir... tout court -_-

mardi 22 janvier 2008

Interlude sans intérêt...

...La météo du jour pour Jacques !



lundi 21 janvier 2008

Philly : épisode 2...

... L'attaque du Frug !

Rappels des faits : Fanfoué, Frug et moi-même sommes arrivés le 30 décembre en soirée à Philadelphie.
Rappel de l’objectif principal au moment des faits : trouver une pure soirée du nouvel an trop bien, pas trop chère, et où il y aura de la place pour nous, le tout en moins de 24 heures, top chrono…

Aiguillés par le flair de Frug (mais surtout par le premier magazine – ma foi incroyablement utile tout au long du séjour – qui lui est tombé sous la main à l’hôtel), on a déjà quelques pistes pour ce New Year’s Eve (traduisez : on n’a rien de concret, on est dans la m*rde)… Cela nous laisse donc la possibilité de vaquer quelque peu à nos occupations de touristes (traduisez : quitte à être à l’arrache, autant l’être pour de bon !)…

Nous voici donc partis pour le Franklin Institute Science Museum (on n’est pas des ingénieurs scientifiques pour rien, gné !)… Tout un univers de science et magie s’ouvre alors sous nos yeux… On monopolise le module simulant l’ammarsissage (euh…) du Rover Spirit, se contrefichant éperdument des rêves de spationautes des pauvres n’enfants attendant leur tour (on notera, à cet effet, que Fanfoué semble vouer un plaisir sadique à déposséder les jeunes enfants de ce genre d’activités, en témoigne son expérience bis de spationaute à Disney World racontée sur son blog…). Robert Redford nous raconte alors au Planetarium la théorie des collisions cosmiques (comme quoi, murmurer à l’oreille des chevaux mène irrémédiablement à ce genre de considérations (Spéciale dédicace pour toi Papa !)). Puis Fanfoué découvre avec effroi la tête toute ridée et bizarre qu’il aura dans 40 ans (imaginez un gollumn avec un air d’Orlando Bloom… Le fou rire de la journée !!!). Enfin, et en vrac, j’apprends que mon côté artistique est plus développé que mon côté scientifique (fu-per© !) ; à en juger par la performance de mes avions en papier, je conclus que des enfants de 6 ans maîtrisent mieux l’aérodynamique et la méca flu que moi (mais j’avais déjà des doutes !!!) ; je ne peux plus le nier : avec la dose de café que j’ingère quotidiennement, je frôle l’arrêt cardiaque à chaque minute (pourtant, je suis persuadée que le jus de chaussette nord-américain ne peut pas être aussi nocif…) !!!

Fin d’après-midi : petit tour dans la ville, levers de tête au ciel pour voir ce qui peut bien le gratter comme ça (mouah ah ah), ballade sur les faux Champs Elysées de Philly… Et la soirée du Nouvel An qui approche, mais on est serein (traduisez : ça sent la soirée loose bière-foot à l’hôtel avec Bob ça !)…
Retour à l’hôtel… Elaboration du plan de la soirée (traduisez : on a repéré quelques adresses plus ou moins au hasard, on tentera jusqu’à ce que ce soit la bonne !)…

Départ vers le Coco’s (LE bar à la serveuse canon de la veille) pour l’apéro (traduisez : il est déjà très tôt lorsque nous (et là comprenez : Frug en premier lieu) prenons notre premier cocktail…). Déception de la soirée : la serveuse n’est pas là (traduisez pour Frug : Eh vas-y ! Que je noie ma déception dans des Gin Fizz !)…
Départ pour le Fluid, boîte renommée de Philly, où on rentre cash, tout frais dispo pour l’open bar qui commence à peine (traduisez : Frug n’a pas encore perdu la raison !)… On jouit fortement de notre situation privilégiée (traduisez : on est plus ou moins scotché au bar ; les Long Island (Fanfoué), Bloody Mary (moi), mais surtout les Gin Fizz (Frug !!!) se suivent à allure… rythmée, on va dire !)… Jusqu’à ce que la serveuse arrive à saturation du « I’d like a Gin Fizz, pleeeeeaaaaaz ! »… ET LÀ, C’EST LE DRAME (suite au prochain épisode ;-)

(Nota : pas de commentaires sur les tofs d’aujourd’hui, sinon l’article ne serait jamais paru aujourd’hui !!!)


lundi 14 janvier 2008

Interlude sans intérêt...

... Petit tour d'horizon de Philly, qui vous est présenté par les magasins Castaram... Euh non ! Par moi !


Philly by Fanfoue - Watch more free videos